Victoire furieuse

Cela a bien failli commencer, un hymne national du Monténégro pour l’équipe d’Albanie. Après réclamation de l’équipe concernée, le speaker, très en forme, annonce que serait joué pour l’équipe d’Arménie…

Mais bon, l’essentiel est que les blancs ont pu chanter sur l’air qu’ils connaissaient le mieux même s’il était déjà chanté en bande son.

Pour ne pas désespérer, la tribune chargée à bloc par les français ont entamée une Marseille dont ils n’avaient pas besoin de musique tant ils en connaissaient bien mieux le son.

Enfin, comme dit la chanson, ils ont gagné…

Un dirigeant fait ce qu’il veut du moment qu’il croit en lui.

Le clown d’un auguste triste d’Outre Atlantique le sait bien qui en profite si bien.

Alors qu’il avait en mains, la possibilité d’une capacité de paix avec les terroristes qui ne cessent de s’éclater, vient de faire gaz arrière à toutes pompes d’un refus de négociation.

Le prétexte serait que ces types ont encore une fois reconnu un attentat fait précédemment.

Ok, c’est vrai, mais c’est comme pour tous les autres.

Et, justement c’est pour cela que des pourparlers étaient engagés pour que revienne la paix.

Il est, par ailleurs, étrange qu’il est annoné : « un attentat à Kaboul qui a tué un de nos grands grands soldats et onze autres personnes ».

Cela voudrait-il dire que pour lui, tout ce qui n’est pas soldat est petit, sauf lui puisqu’il est le chef garanti des armées.

Fait-il cela pour complaire à ses partisans dans le but de sa recherche de deuxième mandat meurtrier ? Partir, c’est mourir un peu.

Les passagers de l’avionneur en liquidation vont comprendre leur malheur alors même que, prévoyant, ils avaient, eux, prévu le retour mais pas leur transporteur.

Jennifer, c’est important, vient de se marier avec son compagnon qui l’accompagne depuis plus de deux ans.

Vous pouvez passer votre week-end rassurés…

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