Face aux variants en cours de la covid-19, le gouvernement prend des mesures fermes.
Notamment, au passage des frontières dont on se rappelle l’existence un test Pcr est exigé avant de passer.
Jusqu’à là c’est simple à comprendre.
Mais là où ça se corse, rien à voir avec nos braves insulaires, c’est lorsque le passant ne peut produire son certificat libérateur.
Que croyez-vous donc qu’il advienne de ce désormais contrevenant ? Il doit s’acquitter du paiement de 135€ en signe de bienvenue en notre territoire.
Car, voyez-vous, une fois payé, l’individu en cause peut légalement rentrer dans le pays de France.
Donc et en conséquence, pour (re)venir en France, il faut calculer son intérêt.
Si dans le pays d’où l’on vient le prix du test est supérieur à l’amende, je choisis celle-ci.
L’autre option peut également s’appliquer en complément de la première, je tente le coup de la chance d’absence de contrôle.
Par contre, si par souci de citoyenneté respectueuse de la loi d’urgence qu’elle courre, mon test effectué s’avérait positif, je tente ma chance que la deuxième option.
Sinon, c’est un peu cher mais pas trop pour retourner au pays France.
La droite à la frontière de l’extrême pour tenter d’exister, relance le débat du (non) port de voile qui serait un symbole religieux.
Or, chacun sait, que si loi il doit y avoir, ce sont tous les objets considérés ostentatoires, je vous laisse l’interprétation possible à faire sur ce terme, qui doivent disparaître de l’espace public.
Mais, très franchement dans une société ouverte, est-ce que ces éléments qui fleurissent au cou, sur la tête, en bandoulière, dérange les personnes soucieuses de liberté pour tout le monde ? Le principe est de laisser l’état laïc et, à ce moment là, toute notion cultuelle n’y a aucune place.
Et les gens de droite, qui veulent aller plus loin, iront-ils jusqu’à vouloir interdire la montée de la crèche à Noël ? On ne parle pas des espaces publics privatisés pour laisser passer certaines processions quelques soit leur religion.