La farce des législatives obligent un gouvernement nommé dans la chaleur écrasante d’une victoire à donner sa démission, mais le premier élu n’est pas obligé de faire la grande lessive au lu des journaux ne fonctionnant qu’au sensationnel dont le seul but est désormais le nombre de lecteur afin de récolter un maximum de pub et de clic pour les blogs. Mais grande claque pour les concernés, à vous dégouter d’avoir la joie sereine d’accepter l’honneur de répondre oui à ce type d’appel.
Bien entendu, lorsqu’il y a vraiment escroquerie, il est un devoir d’en finir en examen et demander réparation.
Mais, ce qui s’est passé est tout d’un plat froid servi par grande chaleur d’une vengeance de petite engeance ayant vraiment magouillé pour son seul souci privé et particulier.
Qu’y a-t-il donc de semblable qu’une embauche non fictive d’un membre familial qu’un de jeu de va et vient entre deux fonctions électives qu’elles soient régionales, nationales ou même européenne ?
S’il y avait vraiment matière à escroquerie, pourquoi alors désormais vivre à la présidence de groupe qui par ailleurs, démocratiquement, devrait être décidées par les membres desdits, ne craint-on pas dans la hautes sphères un nouveau jeu de chamboule tout ou est-ce, justement, un jeu de quilles politique afin que ce groupe ne prenne la poudre d’escampette d’une opposition centrale ?
Ceci dit, même le premier d’entre eux n’est pas épargné puisqu’il semblerait qu’un de ses trajets, lorsqu’il n’était que prince aux dires du roi, internationaux aient été organisé par une entreprise, sans appel d’offre, et que la patronne de ladite se retrouve de manière négligente dans le gouvernement actuel à bon poste.
Ainsi, même la crasse de bourde d’un haut fonctionnaire pourrait déstabiliser un élu car il n’a pour l’heure de ne pas plaire ; bon, ceci dit, notre premier a l’air de satisfaire donc pour l’instant il se plaît et continue ce que je pourrais appeler sa route dictatoriale en rognant sur nos droits et libertés fondamentaux !