7 ministres ont été retrouvés se léchant les doigts précédemment laissés tombés dans un chaudron de confiture.
Chut ne pas rappeler le sort de quelques députés de la majorité dépités d’avoir été pris.
Et si l’on (re)parlait d’un ancien ami véritable couteau suisse de l’Élysée ? Vous verrez d’autres choses vont (re)sortir grâce au départ à l’insu de son plein gré de l’ancien patron de retraite qu’il n’était pas.
Vous ne trouvez pas bizarre, vous, que l’illuminé veuille exclure les forces de l’ordre, les forces armées et les forces du feu pas toujours de forêt, des larges bénéfices de sa si belle réforme que personne n’en veut tellement tout le monde s’en méfie.
Il faut bien le dire, les gens ont déjà été échaudés par les précédentes qui, paraît-il, sur le même air, chanter les louanges d’une transformation.
Bilan, ils ont vu leurs aînés en peine avec une pension baissant.
Pour la petite histoire, il fut un temps où les pensions représentaient vraiment 90 % du dernier salaire, voire parfois 100 % du net.
Mais, cela n’allait pas dans les grands projets des puissants qui ne supportent pas que d’autres puissent profiter des miettes de leurs immenses fortunes sans avoir à aller au chagrin quotidiennement.
Alors, en inventant les baisses ils ont recréé le chagrin de la recherche persistante de se demander comment faire pour terminer son mois dès le 10.
C’est d’ailleurs, peut-être pour cela, que la pension de base est dispensée à cette date.
Comme pour donner une leçon à ceux qui ont l’audace de survivre un peu plus sans turbiner.
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