Une personne sur deux ne s’y intéresse pas

J’ai lu qu’en France, une personne sur deux (femme ou homme) ne s’y intéresse pas, donc 50 % de la population mais comment se comporter avec les autres qui s’y intéressent.

Pour qui c’est le sujet de préoccupation, de conversation, de tous les instants. En temps normal, il semble que 1 sur 3 s’y intéresse, mais là la situation est spéciale c’est 1 sur 2.

N’ayez pas d’idées mal placées, je veux simplement parler de ce qui va se passer de la mi-juin à la mi-juillet en Russie, le Mondial de Football.

En temps normal à peu près 1/3 des Français suivent les foots, avec une majorité d’hommes, même si les femmes ont commencé à s’y intéresser avec le mondial 1998 qui c’était en France.

Les 50 % qui vont suivre les matchs pourront en parler, commenter, critiquer,… et nous pouvons imaginer qu’autour des machines à cafés, dans les bureaux ce sera le sujet de conversation.

Même si c’est du 50 / 50, les 50 % qui ne suivent pas les matchs risquent d’être marginalisé. D’autant plus que les conversations footballistiques sont toujours très… dynamiques.

La question si on ne s’intéresse pas au football, doit-on a minima suivre les résultats, lire quelques résumés de ce qui se passe pour pouvoir faire semblant. Ou au contraire, doit-on être franc, rester dans son coin, laisser les amateurs de foot devant la télé, converser et s’exciter sur le sujet.

Personnellement, je serais d’avis de ne pas faire semblant, de se contenter d’observer les supporters commenter ce qu’ils ont vu la veille et faire des pronostics sur les prochains matchs.

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