Si vous n’aviez rien compris à la contemporanéisation tant vantée par le ministre au budget aplati, c’est qu’il va vous vouloir en cette rentrée retourner à l’école recherché le prof qui lui sait s’il s’est mit à jour durant ses devoirs de vacances.
Au verset des impôts, cela tendrait à vouloir dire que les réductions en crédit d’impôts se doivent d’être immédiates et pérennes.
Si cela marche rien, nombreux ménages n’auront plus à débourser une avance qui parfois étranglait le bénéficiaire qui soudain n’en voyait plus le bénéfice.
D’autres, cependant, auront constater un variété dans leur taux d’imposition.
Cela est durable puisqu’il tend à suivre, sans le devancer, l’évolution de vos émoluments.
Ils grimpent, le taux aussi.
Ils baissent ou le ménage grossi, le taux maigri.
Ce n’est pas plus compliqué que cela.
Et si vous trouverez que la réduction pour personnel de service à la personne n’est vraiment plus ce qu’il était, c’est que vous aurez reçu un acompte l’hiver dernier.
Si vous n’aviez pas encore compris, le haut siège est maudit.
Encore un de tombé de son nichoir à cause de ces maudits journalistes qui veulent à tout prix faire leur boulot alors que ce monsieur l’entendait autrement.
Pour mieux se défendre, il a voulu faire pareil que son prédécesseur en parlant de broutilles à réparer rapidement pour des oublis de coordination à 3 balles.
Mais, la ligne des journalistes est de ne rien lâcher de ce qu’ils ont pêché.
Ferré comme il est, il risque de perdre pieds dans peu de temps.
Mais il a promis à son mentor l’illuminé qu’il lui doit tout y compris son poste actuel alors qu’il avait perdu le sien de ministère pour la même histoire à dormir debout.
Mais une question, que tout le monde a sur ces lèvres sans jamais oser l’ouvrir : « Aime-t-il à ce point sa femme pour laquelle il a pêché ? ».
