C’est une description qui me semble juste, de divers faits faisant une vie qui fait que, en bout de chaîne il y a toujours un enfant qui tout au long de sa route en paiera les frais.
Et, si pour une fois, mais pour toujours, l’on considérait mieux la violence morale, intellectuelle, destructrice que peuvent être des mots et des comportements même s’ils ne portent pas directement atteinte au physique.
Mais, cela, malheureusement, passe tout d’abord par l’acceptation de soi, une certaine capacité de résilience pour ensuite accepter l’autre.
Chacun doit pouvoir mener sa vie comme il l’entend du moment qu’il n’empiète pas la liberté d’être des autres.
En attendant, la formation d’équipes aidantes ayant vraiment les moyens seraient un bien.
Pour en revenir au livre, après cette digression, faites attention.
Il se lit tellement facilement, qu’on ne veut pas le lâcher avant sa fin…dans toute l’expression de son terme.
