Trop, c’est trop

C’est la drôle d’histoire d’un retraité qui a pris sa retraite.

Jusque là rien de vraiment surprenant puisque c’est encore possible.

Il n’a pas à se plaindre puisqu’il a toujours travaillé, progresser même si la chute s’est transformée en licenciement pousse-toi de là tu e fais pas partie de la bande.

Ses trimestres fournis, il profite grassement d’une retraite que malheureusement nombre de travailleurs pourraient lui envier.

Pourtant, avant il gagnait beaucoup plus, payait beaucoup plus d’impôts redistributifs comme ils disent.

Pourtant, alors qu’aujourd’hui, il paye nettement moins d’impôts face à des revenus nettement moins élevés, il constate qu’il vit moins facilement.

Il commence à regretter le temps où il payait plus encore d’impôts… Vous croyez que c’en est terminé d’exclure des trottoirs les exclus de partout que l’on ne voit pas voir, plus dans les centres-ville ni ailleurs d’ailleurs.

Mais force est de déchanter très vite pour peu que vous ayez chanté d’avoir donner droits à ceux qui n’ont pas de toit et à qui l’on ne donne pas le droit d’un bout de trottoir même celui d’en face.

c’était un 24 décembre pour que ce soit plus symbolique d’une action virale entamée il y a 4 ans.

Le maire de cette ville moyenne provinciale avait du retourner à ces études.

Mais depuis, cela a recommencé.

Seule trouvaille, dit-il, pour éloigner dealers et poivrots.

Ce ne sont plus des bancs encagés ou ornés de picots, mais tout simplement des galets pour rendre la position allongée insoutenable.

Il n’y a pas que les gilets jaunes qui soient enragés, mais les Sdf ne peuvent pas prendre la parole, ils ne peuvent même plus se terrer.

Et dire que pour se montrer intéressant, un politique très haut placé faisait remarquer que les gilets jaunes ne représentaient pas tous les plus malheureux sur le sol français.