Trop, c’est pas assez

Tout le monde le sait, pour manger à sa faim et donc éviter les petits encas tout le long des minutes des heures journalières, il faut savoir manger lentement.

C’est sans doute pour cela qu’une bonne fée de collège d’étudiants a décidé la possibilité de commander son repas afin d’aller plus vite.

Il fallait y passer pour mieux apprécier les sandwichs mois que rarement commandés.

Drôle de métier que celui de politique obligé de critiquer ce qu’on l’aurait fait soit même alors qu’un autre le fait quand même.

Mais, la décence, il ne connaisse, l’opportunité, si.

D’un massacre faisant découvrir un homme courageux, l’impérieux pour se refaire la cerise le nomme héros et vs festoyer en conséquence tandis que son opposition en décomposition tente à coup de queues de billard dans les coins de le renvoyer dans les cordes.

A ce niveau, c’est du grand, que des artistes ces comédiens

Del Arte.

Ah la belle affaire que le plus riche des patrons, qu’il a une fortune comme elle es bonne, cocorico, il est français, vient de faire en montant de toute pièce une fondation pour le bien de tous en commençant par lui-même, il faut bien tester, avec quelques centaines de millions par lui économisés sur ses propres impôts.

De toute façon, c’est à lui, il a bien le droit d’en faire ce qu’il veut.

Tant pis pour les quelques 500 millions soutirés des caisses nationales.

Mais au moins, il est sur qu’ils ne finiront pas dans une quelconque escroquerie de caisse sociale alimentant que des gens fainéants, analphabètes et n’acceptant pas stupidement de travailler pour rien.

Ce qu’il y a de bien chez ces gens la c’est qu’ils ne sont jamais satisfaits, ce qui fait avancer les choses.

Ce n’est pas comme ce Martin qui n’a pas été jusqu’à pêcher le nombre de compétitions en haut du perchoir à gogos.

Lui ne sait plus ou percher les breloques ramassées…

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