Elles concernent le retrait du droit su sol dans l’île de Mayotte et l’autre le retrait de l’obligation de l’énergie pour les surfaces de logements n’excédant pas 40 M2.
Parlons de la première qui a vu tout ce qui est extrême droite sortir des bois pour réclamer l’extension à tout le territoire français y compris la métropole.
Ainsi, les femmes ne viendraient plus enceintes, ou se feraient mettre dans cet état pour, par ruissellement, obtenir la nationalité française.
Croit-on sérieusement que ces migrants ne partiront plus de leur patrie natale pour aller voir ailleurs une situation meilleure ? Et que dire des trafiquants en tout genre ? Franchement, vous y croyez ? Mais cela permettra de confirmer que la Constitution n’est pas inviolable avec des arguments populistes qui ne servent à rien.
Et la deuxième mesure qu’elle est belle.
Ainsi, plus de 150 000 logements seraient rendus au marché grâce à la seule mesure de supprimer un contrôle drastique de sa consommation électrique ou autre énergie vitale par les temps qui courent.
Mais, n’était-ce pas déjà le cas par l’exonération faite aux logements collectifs dont le propriétaire a fait une demande en règle de meilleure isolation de l’immeuble et avoir subi le refus de la majorité ? Par ailleurs, rappelez-vous que les unités individuelles de cette surface en sont déjà exemptées lors d’une mise en vente sur le marché.
Comme pour les murs, cette mesure n’empêchera pas les individus d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte d’autant plus qu’avec les sécheresses annoncées leurs terres deviendront invivables lorsque ce n’est pas déjà le cas.
Concernant, la deuxième, la seule chose intéressante est politique : elle permettra à l’initiateur de dire que grâce à lui, il a participé activement et positivement au souci du manque de logements.
Les problèmes demeureront, les politiques iront ailleurs poursuivre leur carrière.
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