Les automobiles sont facteurs de forte pollution d’autant plus que l’on a découvert les méfaits des particules ultra fines.
Il y a donc urgence à modifier le parc automobile afin de retrouver un air plus respirable permettant à quelques 48 000 personnes (plus que les tués sur routes, tiens, tiens) de mourir d’autre chose moins prématurément.
L’on pouvait donc s’attendre que le grand illuminé fasse parler la sagesse et s’engage financièrement pour une forte réduction de ces émissions.
Et bien, pour une réduction c’est tout vu : la prime à la reconversion est baissée et les diesels d’avant le 1er septembre 2019 seront écartés.
Cela devrait donc permettre l’extinction à petit feu de tous ces véhicules polluants dont on ne peut plus parler la gorge en bon état.
Mais juré promis aucun nouvel impôt ne sera créé sous cette déjà ancienne législature.
Déjà qu’elle m’avait nettement agacé une ancienne chef de service que je devais remplacer avec un salaire de moitié moins.
Mais son départ à la retraite arrivant, elle m’avait informé qu’elle conserverait 90 % de son ancien salaire brut ce qui correspondait alors à 100 % du net.
Et, sans hésiter, elle m’avait que ce ne serait pas le cas pour les nouveaux arrivants dont un jour d’avenir je ferais parti.
Peu de temps après, le rabot a commencé à fonctionner par une duperie en forme d’amélioration : le calcul de cette retraite sur les 20 meilleurs années, transformées par la suite en 25.
ainsi, pour ceux dont la trajectoire visait le haut sans être plat, cela voulait dire une forte différence entre le train de vie en cours de travail et celui qui arriverait en cessation d’activités forcées.
Ce n’était plus 90 % du brut, mais belle et bien 50 % du net tout en payant plus en termes de cotisations contractuelles.
Et encore ais-je pu échapper au recul de l’âge légal qui aurait pu m‘être fatal.