28 départements passés “zone de circulation active”.
Ce sont les préfets des zones concernées qui sont ravis de pouvoir passer outre les avis des élus de terrain, pourvu qu’ils aient celui favorable de leur chef de corps.
Main dans la main avec les maires, c’est du pipeau pour pour la galerie à moins que ceux-là ne fassent bonne figure pour la photo et ne pas perdre pied auprès de leurs électeurs.
Ils pourraient bien se demander à quoi ils servent réellement sauf à être courroie de transmission du vrai pouvoir qui n’y connaît rien.
L’une le sait bien, épouse d’un qui se voudrait leader de l’écologie montante si les autres le laissent y aller, mais surtout journaliste espiègle connue des plateaux de vice et versa pourvu qu’on l’entende, qui dénonce une sorte de mafia comme une caste de privilégiés arqueboutés sur le principe d’enrichissement, mais surtout en dehors de toute réalité sociale.
Ils veulent cependant continuer à diriger comme s’ils étaient maîtres du centre du monde dont la capitale est Paris.
Et c’est ainsi qu’ils empêchent des projets viables et fiables pour tous car ceux-ci ne se sont jamais trouvés sur leur chemin.
Et cet autre fier d’avoir utiliser la fusée sociale qui lui a permis de prendre un autre destin que son père grâce à un prof ayant su utiliser les bons radars d’identification de l’humain.
Mais, il en passe par la plus haute école d’administration ce qui n’aurait pas dû l’amener chef mutualiste d’assurance si lesdits mutualistes n’avaient pas pris ombrage du trop grand nombre de leurs cadres sortis tout droit des escaliers dont ils ont gravi chaque marche sans trop se fourvoyer des critiques acerbes qui n’admettent que d’autres avancent alors qu’ils n’espèrent que stagner.
Mais, ce patron, qui fait penser, toutes proportions gardées il n’est pas né de la même cuillère, l’un bois l’autre d’argent, ni sorti de la même école après y être entré, considère ce poste comme un tremplin pour demain.
Et ainsi s’abîme un peu plus l’esprit mutuelle…