Et pour lui, il s’agit de la femme, la couleur autre que blanc, les trentenaires et j’en passe.
Aucun lien de cause à effet qu’il soit justement dans la trentaine puisqu’il n’est pas dans les deux autres.
Un simple bobo des centres-ville aimant la campagne sans chant du coq ni tocsin d’église au centre du village.
La diversité, c’est bien.
Il faut lui donner la parole.
Mais, justement, parole, à force de couper ce qui ne fait déjà plus société, chacun d’entre nous se voit catégoriser dans une minorité.
Et, c’est ainsi que lorsque des personnages manifestent à plus de 200 000 l’on insiste pour faire remarquer qu’ils ne représentent rien face au 64 000 000 millions d’autres habitants qui ne forment pas tous la majorité silencieuse.
Est-ce l’effet de la future irruption du trublion d’extrême droite, clown de son maître milliardaire, qui fait que même celui qui aurait pu être de droite très modérée, voire de gauche faiblarde, déborde largement sur la droite extrême.
Les pauvres resteront pauvres mais seront obligés de payer immédiatement les amendes qu’ils pourraient recevoir.
Bien entendu, ce n’est pas nouveau.
Mais qu’ils soient aussi explicitement désignés à la vindicte populaire, c’est le renouveau de cette droite.
Droite actuellement fissurée, qui va s’amuser à rassembler ce puzzle de célébrités antiques ? Beau feuilleton de l’automne qui va toutefois se dessiner après celui des verts qui sont enivrés de tant de bonnes volontés pour participer à leur primaire.
Pensez pas moins de 5 candidats sur la même affiche, dont il paraîtrait, que chacun(e) l’ait déchirée à son avantage.
Pas moins de 200 000 prétendants aux votes.
A l’heure du jour de la semaine du mois du trimestre du semestre de l’année consacrée, vous aurez connaissance de l’heureux(se) élu(e) ou pas, pourquoi pas ?…