Tous les sports ne sont pas exposés aux risques de la Covid-19 de la même manière

Le monde du sport est l’un des plus touchés par la résurgence de la Covid-19 depuis la rentrée à cause du comportement des sportifs, qui dans le feu de l’action, se touchent, s’embrassent et se serrent les uns contre les autres, comme par le passé ce qui facilite la transmission du virus, par ceux qui en sont porteur, sans le savoir, les premiers jours de la contamination, au lieu de garder leurs distances.

Dans les zones de forte circulation du virus, les salles de sport, les gymnases et les piscines sont fermées, sauf dans quelques villes.

Dans les métropoles concernées par le couvre-feu, il n’est plus possible de faire du sport en dehors de chez soi, passé 21 heures et seuls certains publics prioritaires, comme les mineurs pratiquant du sport en association ou les sportifs de haut niveau ne sont pas concernés par les restrictions.

Parmi les 40 sports usuels, certains sont conseillés et d’autres sont à éviter après avoir fait l’objet d’analyses dans le cadre d’études scientifiques.

Il en ressort un certain flottement, les études académiques sur certains clusters sportifs sont rares et ne permettent pas d’incriminer la pratique précise d’une activité sportive, l’essentiel est de pouvoir garder sa distance, si la pratique d’un sport ne le permet pas, s’il y a des corps à corps, comme dans les arts martiaux, il faut, par mesure de sécurité, s’en abstenir.

Plusieurs enseignements ressortent de ce bref tour d’horizon, les sports de groupe en espace confiné mal aérés, les sports collectifs fondés sur des contacts sont à éviter, alors que les ports individuels d’extérieur ne présentent pas de risques, à condition d’éviter les vestiaires collectifs, c’est également le cas des jeux de raquette.

Il reste le sport professionnel qui n’est pas concerné ici.

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