Réflexions

Toujours plus

La journée de la femme est arrivée, il faut à tout prix en parler sur radios et télés ?

Et, c’est bien volontiers que je vous en parle pour ne pas être classé définitivement dans les ringards.

qu’entends-je ? Une féministe de la première heure, on lui doit au moins cela, réclamer que sur le tout de France il y ait au moins, sur le podium, une homme et un femme ?

Cherchez l’erreur…

Au salon de l’Auto, il ne devrait plus y avoir d’hôtesse.

Si c’est pour dénoncer le statut très précaire de ce type de poste à qui l’on fait croire la lune, tout à fait d’accord.

Mais pas sur que la dame s’intéresse vraiment au sort des travailleurs-ses.

On pourrait certes les remplacer pas des hommes.

Mais le monde étant ce qu’il est, au jour d’aujourd’hui, tout le monde pensera, et dans tout le monde siège à parité égale (pléonasme?), que ces beaux messieurs sont homosexuels.

Cela dit, ça ferait peut-être avancer leur cause, mais je ne pense pas que ce soit l’idée sous-jacente de cette dame.

Je viens de recevoir un courriel de mailing non identifié pourriel qui vante la femme tatouée non pour objet mais comme lien dans la renaissance de celles qui sont victimes du cancer du sein.

Le tatouage de nouveaux tétons leur permettrait de revivre leur vie de femme.

Soit, mais tout ce beau texte était uniquement une information pour annoncer le prochain salon du tatouage.

Ainsi chacun ses excuses pour le détournement de nobles causes à ses propres fins mercantiles ; pauvres femmes.

J’en ai connu d’autres, qui étaient vraiment pour, sans être contre, l’écriture inclusive, dont la première manière serait une insulte au féminisme.

Mais pourtant, à ma demande, elle me précise qu’elle n’en veut pas dans son texte car cela rendrait trop lourd la lecture et ferait passer le message premier au second plan.

D’ailleurs, nombre de secrétaires, d’assistant-e-s ne veulent pas répondre positivement à leur chef-taine car cela leur fait trop de boulot au final.

Alors, juste une emmerde pour les instits dont on déplore qu’ils ne soient trop féminins ?

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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