Toi contre moi
L’on entend souvent parler de viol.
C’est assurément traumatisant et dans tous les cas anormal, injustifié.
Mais le plus souvent, voire tout le temps, il est question du viol subie par la gente féminine, jamais celui subie par les hommes.
qu’est-ce à dire ?
Serait-ce le poids des coutumes, le seul fait que seules les femmes osent, de plus en plus, c’est certain et il faut poursuivre, ou tout simplement parce qu’un homme ne peut être violé ?
Il ne peut être violé parce qu’il est est plus fort, il peut rejeter plus facilement sans grand contrainte ou tout bêtement, n’ayant aucune réaction il ne sert à rien n’ayant plus l’objet d’une certaine convoitise en état de fonctionnement.
Est-ce bien vrai ? Parfois l’on entend, à peine mais tout de même, certains dire ce n’est pas parce que que j’ai rosi du plaisir comme les dames.
Pourquoi n’en serait-il pas ainsi d’un certain consentement même si la machine peut-être mise en marche ?
N’est-il jamais arrivé à un homme d’être obligé de faire car cela ne se fait pas de refuser ou tout simplement si vous couchez à côté du sexe opposé vous devez obligatoirement coucher avec ?
Voyez-vous un homme aller dans un commissariat vouloir porter plainte ou à défaut déposer main courante d’avoir exploser par défaut ?
Ne serait-ce pas bizarre de dire en réunion de dîner de mondanités, je dois dire que madame ne cesse de me forcer qui peut m’aider ?
Est-ce que l’homme a seulement le droit, dans non pensées étriquées, de penser cela à défaut de l’exprimer ?
Et pourquoi n’y a t-il pas plus à entendre de relation femme à femme, homme à homme contrainte et forcée ?
Le viol ne serait-il qu’à sens unique sur une autoroute d’une seule sexualité ou simplement la réserve exclusive, animale de la féminité comme l’enfantement ?