Tirer le bon grain de l’ivraie

Cela y est. On a découvert le pourquoi du comment du malaise désormais exprimé par nos forces de l’ordre.

Ils sont mal payés malgré le rôle de première ligne.

Leur lieu de travail qu’il soit interne, commissariat où les toilettes ne sont pas préférables, ou externe, les voitures à sirène que j’arrive pas à démarrer, sont d’une misère à faire fuir.

Et, le vrai plus dans tout cela, c’est qu’il fréquente en privée des logements dans des quartiers difficilement vivables surtout si l’on est policier.

Aussi, devant cette situation que beaucoup pourraient n’avoir pas du tout envie de vivre, le force de l’ordre veut fuir, fuir.

Et pour s’en sortir ils tapent sur tout ce qui pourrait l’obliger à rester comme un affreux sparadrap.

Alors, ils auront tendance à franchir la ligne jaune quand ils n’endossent pas cette couleur pour vomir un actuel en espérant un meilleur.

Malheureusement, ils bouclent la boucle et s’enferment un peut plus dans une aliénation débile.

Scoop en boomerang, la technique policière qui devait s’arrêter continuera.

Ainsi, les policiers ayant mal appris cette possibilité pourront continuer à mettre en joue la vie des autres.

Délinquants ou pas, l’on peut se demander qui doit donner l’exemple.

Expliquez mon inquiétude sur la formation de certains prix à la consommation.

D’un côté, il est dit que le litre de lait revient à 40cts d’euro à l’agriculteur producteur.

De l’autre côté, une distributeur à grande consommation dit qu’il fait l’effort d’un prix à 1,45€ le dit litre en pack de carton.

Qui perçoit honnêtement le différentiel de 1,05€ ? Petit indice, la tva est à 5,5 % sur ce type de produit… Et le communautarisme s’amplifie.

Dans une de nos régions vinicoles, deux d’entre elles, la moutarde leur venant au nez, s’éclatent.

C’est l’ivresse pour les riverains qui ont droit chaque soir à de joyeuses flambées qui obligeront certains à participer à la croissance économique prime à l’achat solvable ou pas…

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