Tendances flashes
Déjà, la tendance naturelle du patronat est de faire du chantage à l’emploi leur axiome pour faire n’importe quoi.
Les petites ne le pouvait pas, mais les moyennes grosses ne pouvaient s’empêcher de faire valoir leur présence dans une ville, voire un région, sous réserve de quelques menus avantages, fiscaux de préférence.
Mais, les grosses, les vrais grosses se permettent tout.
Notamment celle appartenant à l’homme actuellement le plus riche de la planète tenté de s’implanter dans une grande mégalopole sous réserve d’une petite déduction fiscale de l’ordre de 2 milliards par an.
Mais, voilà, en pays cette ville, qui n’est pas vraiment la province, d’Outre Atlantique, il s’est trouvé quelques gauchos, toute comparaison avec un ailleurs serait suicidaire notamment en France, vu l’état général de la manière de faire de la politique, pour s’opposer à cette force qui se croyait invulnérable.
Quelque chose semble avoir bien changé, même si la marée voudra faire croire s’en débarrasser, mais, le grand chantage au n’importe quoi a peut être commencé à s’écraser dans le mur du tunnel où ses patrons veulent nous emmener pour leur plus grande gloire et surtout leurs intérêts qui peuvent englober la précédente.
L’on savait qu’il était sur qu’il ne fallait pas montrer ses fesses à n’importe qui comme nous le confirmaient, dès notre plus jeune âge, nos parents.
L’on sait maintenant qu’il ne faut pas montre le reste même à des jeux d’adultes consentantes surtout s’il s’agit de gente féminine qui pourrait bien en profiter.
Le désormais ancien remplaçant du premier ministre ancien chef de son havre de paix recherche nouveau remplaçant bien sous toutes les coutures.
Poste à pourvois même s’il ne figure ni en première, ni en dernière ligne des postes vacants à Pôle emploi.
Aux dernières nouvelles, le gouverneur des armées, non prévenu de la prise de pouvoir sur ses hommes, n’exclue pas que ces derniers puissent tirer dans le tas ce qui prouvera que les flashballs sont un peu moins dangereux…