Dans cet ouvrage, l’auteur nous parle à la fois de sa vie depuis sa naissance, mais également de son ressenti tout au long de son enfance, puis de sa vie d’adulte.
De son attirance très jeune vers des activités plus mentale que physique. Par exemple à l’âge de huit, pour le choix d’un sport, son père voudrait qu’il fasse du football, mais Grégory Mutombo lui veut fait de l’aïkido. Choix qui sera respecté grâce à sa mère (qui a horreur du foot) et à sa sœur aînée qui doit pratiquer la même activité que lui.
Vu le profil de l’auteur, ancien parachutiste et officier de gendarmerie, on pouvait s’attendre à une écriture très dure, presque guerrière, il n’en est rien, derrière son uniforme (enfin qu’il ne porte plus aujourd’hui, ayant retrouvé la vie civile), se cache quelqu’un d’une grande sensibilité.
Mais, ce livre n’est pas seulement l’histoire de la vie et des émotions de l’auteur, c’est aussi un fil directeur pour prendre du recul et mieux appréhender les événements que nous vivons.
Certains trouveront que cet ouvrage est peu trop métaphysique, trop abstrait. C’est vrai que le concret de la vie de Grégory Mutombo côtoie de longues réflexions. C’est tout l’intérêt de La Symphonie des Âmes.
En fin de compte on peut lire La Symphonie des Âmes sous 2 angles, soit simplement une autobiographie, qui mêle le réel au ressenti, soit pour la recherche de mieux se comprendre pour mieux se réaliser.
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