Sur l’estomac

Quand le petit mitron a été adoubé par un grand nom de la gastronomie française, il a sans doute vu trop d’étoiles.

Il vouait, de Londres à Dubaï faire ripailles en escroquant au passage ses alliés de circonstances.

C’est du moins ce que prétendent ces derniers tenant pourtant haut leurs finances.

Mais l’artisanat dans un atelier, aussi fréquenté soit-il, n’est pas de la même exigence que l’industrie de pointe.

Comme c’est de commerce dont il s’agit devant le tribunal éponyme cela va rester à l’estomac d’un d’entre eux et peut-être se poursuivre au pénal chacun s’accusant réciproquement, c’est plus rigolo, d’escroquerie en service recommandé.

L’ancien ministre de l’industrie et du commerce français ayant mal fini chez un ameublement pas sur mesure, a été plus loin dans la communication avec les étudiants que son homologue encore de service politique de droite extrême, puisqu’il a été jusqu‘à partager les toilettes avec l’un d’entre eux qui l’a rapporté à ses copains-copines.

Mais comme il avait affaire avec de futurs joyeux leurrons de la finance, il leur a dit que celle-ci allait dans un mur et vive l’industrie.

C’est certainement le renvoi de l’ascenseur au cador chef de l’école qui dans son discours a vanté la présence d’une multitude d’étudiants jamais vue dans l’hémicycle à moitié rempli.

Dans un livre plein d’émotions racontant la vie d’une cité en petite couronne de la capitale, une journaliste nous fait voir le quotidien d’un petit dealer se faisant un smic tous les deux jours mais payant ses salariés non imposés ni cotisés, 50€ par jour.

Ainsi, il ne sera pas dit que le patronat périsse… et le nom moins intéressant, c’est que tout cela ne se ferait pas au nez et à la barbe des chargé de contrôle de territoire.

C’est drôle : certains se plaignent que les fonctionnaires ne fassent rien, d’autres que leurs heures supplémentaires nous coûtent 4 milliards d’€…

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