Nous subissons actuellement une vague de chaleur qui ne dit pas son nom

Les immeubles collectifs de nos villes, surtout ceux construits massivement depuis la fin des années 1950, en fer et en béton, sans la moindre isolation, sont des passoires thermiques, à l’intérieur desquelles la température monte, sans baisser de plus d’un ou deux degrés la nuit.

Les maisons individuelles ne sont pas mieux loties, sauf celles construites sous les arbres, où il fait frais.

Des constructions de maisons individuelles récentes, construites ou agrandies, isolées à grands frais, ne sont pas mieux protégées contre la canicule, si les isolants sont posés à l’intérieur, pour ne pas modifier la façade, en le posant à l’extérieur, pour être efficace.

Pour cette raison, il faut faire appel à un architecte DPLG, pour des travaux importants, qui guidera et contrôlera le travail des entreprises.

Pour ce qui est de la canicule et de la hausse des températures, on ne nous dit pas tout et il faut aller à la pêche aux informations dans la presse pour en savoir un peu plus, alors que de toute façon, nous n’y pouvons plus rien, même en triant consciencieusement nos ordures ménagères.

Nicolas Hulot, notre ministre de l’environnement, pardon de la transition énergétique et solidaire dit que changer d’échelle est plus que jamais d’actualité, pour lutter contre le réchauffement climatique, ce qui n’a rien de rassurant.

A en croire la presse, l’été 2018 sera chaud, les températures enregistrées entre le 1er avril et le 10 juillet, marquent un record absolu, pour la période et cela continue, alors qu’un nouveau pic est attendu en fin de semaine, à chacun de se protéger comme il le peut.

Selon les dernières prévisions, sans atteindre un seuil caniculaire comme actuellement en Californie, nous risquons d’avoir une chaleur continue, qui ne sera pas coupée par des vagues de fraîcheur, ce qui risque de poser des problèmes de sécheresse, un été qui s’inscrira dans la continuité des étés que nous avons connue ces dernières années, avec des températures en hausse, avec un record au mois d’août 2003.

Pour l’avenir, les prévisions ne sont pas plus optimistes, les vagues de chaleurs seront de plus en plus nombreuses, avec des épisodes aussi chauds qu’en août 2003, une année sur deux.

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