Ce serait amusant si ce n’était pas aussi terrible. L’on entend à corps et à cri que la justice est trop lente, ne fait pas assez correctement son travail.
Et l’on invective les juges d’être partisans de la moindre peine.
Pourtant, au cours du dernier féminicide survenu à l’est de France, le constat est que la plainte déposée par la victime n’a pas été traitée par..les force de l’ordre.
Cela rappelle un peu trop le nombre de dépôt de plaintes ou mains courantes refusées.
Nombre de femmes s’en sont allées au commissariat leur désarroi sans être prises en considération.
Ce n’est pas la cause de la justice mais bien des forces de l’ordre qui n’ont pas fait.
L’argument est le manque de matériel, de personnel.
Soit, on peut l’entendre.
Mais pourquoi cela ne serait-il pas valable pour la justice ? Le chef de l’intérieur a rentré ses petits bras musclés contre la représentante d’une certaine gauche à la région d’île de France.
Il est content, il a faire perdre du temps à tout le monde.
Il se dégonfle sous prétexte de dire qu’il avait bien entendu que la belligérante disait que toute la police n’était pas raciste.
Elle l’a toujours dit, mais peu importe la cause pourvu qu’il y mette les moyens.
Le (sur) homme n’aime pas que l’on dise que les forces de l’ordre sont glaçants.
Peut-on dire que parfois certains de ses membres sont particulièrement chauds ? En fait, tout cela donne du grain à moudre comme l’aurait dit un ancien chef syndicaliste, à une chef d’extrême en guerre, parricide, aimant les chats et les jeunes bobos.
Bien qu’elle ne soit pas bovin elle ne boit avec plaisir le petit lait.
Un peu comme le ruissellement de l’illuminé, mais provenant de la part aimante des politiques.
Ce qui lui fait de plus en plus aimer le bourbon qu’elle veut boire à l’Élysée.