Sont-ils encore des humains ?

En France, à Draguignan dans la vieille ville, des jeunes dans la nuit de Mardi ont torturé et mis à mort un chat. À lire la presse, une mise à mort avec des tessons de bouteilles, allant jusqu’à lui arracher les yeux.

C’était un chat habitué aux humains, c’était un chat… libre, que le voisinage nourrissait, comme cela se passe souvent.

Ces jeunes n’ont pas encore été arrêtés et j’espère qu’ils le seront.

On peut ne pas aimer les animaux, aimer les chiens mais pas les chats, les chats, mais les chevaux,…

Mais comment peut-on s’en prendre à une pauvre bête, plus petite et plus faible qu’un groupe d’humains.

Ce que je trouve inquiétant est le mode opératoire, tuer par torture. Si, ces jeunes, au lieu d’être tombés par hasard sur ce pauvre chat avaient trouvé sur le sur chemin un enfant, une personne âgée, donc quelqu’un de faible, ils auraient pu faire la même chose.

Ce ne sont plus des humains, ils sont tombés au stade de l’animal.

Les animaux, par instinct peuvent avoir des comportements violents. Si nous croisons le chemin d’un tigre, il peut nous tuer nous considérant comme des proies.

Un simplement, chat, je le vois avec Elliot (notre chat siamois), il peut à la campagne attraper une souris et la tuer lentement et il recommencera, c’est dans sa nature. Mais ce n’est pas un humain, c’est un animal.

Mais, ces jeunes sont théoriquement des humains, comment les juger, à quoi les condamner. Ce n’est pas quelques années de prisons qui leur feront comprendre la barbarie de leur acte. Comment être certains qu’ils ne recommenceront pas à torturer à mort des animaux, voire des humains. Je n’aimerais pas les avoir comme voisin.

Mais, ils sont probablement fous, loin de l’humanité, leur place est dans un asile en calmant leurs ardeurs avec de sérieuses camisoles chimiques.

Je ne comprends pas ce type de comportement, c’est d’une lâcheté et d’une cruauté abominable. J’imagine la peur et la douleur qu’à du ressentir ce pauvre chat, qui faisait confiance aux humains, car ceux qu’il connaissait s’occuper de lui. Mais, il ne savait pas qu’à côté de ces humains gentils, ils pouvaient y avoir des monstres sanguinaires.

Pour moi, ces jeunes sont impardonnables, ils ne font plus partie de l’humanité.

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