Fait mal aux libertés individuelles, à notre vivre bien ensemble.
Mais, on n’en a peu parler même si c’est suffisant pour que je vous en fasse mon propos aujourd’hui.
A croire que ce n’est pas un risque de phénomène de société.
Pourtant, c’est flagrant il tape à nos portes.
Et le moins hilarant, c’est que c’est le fait de braves gens, vous, moi et pas seulement eux.
Il y avait vote dans cette région forte où son élu premier avait été condamné royalement au niveau national.
Le vassal intérimaire voulait aller plus loin.
Ce qu’il n’a pu faire.
Et, malgré la pandémie touchant fortement son coin de paradis, il a fallu aller voter.
Tout se passa bien peut-être le fait d’une forte abstention, 47 %, correspondant au j’men fous de la population qui ne demande qu’à vivre simplement.
Toute la journée les gens défilaient un à un.
C’est mieux pour voter en son âme et surtout esprit vivant es-tu là ? Mais, en fin de parcours, chose étrange, les bureaux de vote ont fait du jamais vu.
Les assesseurs se paraient d’une panoplie protectrice d’un blanc plus que blanc pour chasser le mauvais sort.
Une fois fait, l’on laissait rentrer les pestiférés.
Les atteint de la Covid, les soupçonnés de l’être, les peut-être, les hésitants formaient la nouvelle tribu qui toutefois n’était pas encore exclu.
Ils ont eu le droit de vote.
Peut-être pour faire monter le nombre de votants.
Peut-être parce que le parlement n’a pas eu son temps de faire une loi d’exclusion.
L’histoire ne le dit pas.
Comme au bon vieux temps, l’on retiendra la création d’une nouvelle basse caste à laquelle il ne faut pas se frotter.
Le résultat des votes : on s’en fout.
