Si, effectivement, il peut-être intéressant de constater qi l’on est atteint ou non demeure au moins deux questions.
La première d’abord concerne le négatif qui veut dire que l’on est sain.
Mais, cette vérité n’est valable qu’au temps « T » du moment du jour où le dépistage a été pratiqué.
Il n’est pas dit que dans la seconde qui suit, le sournois n’est pas passé.
Par ailleurs, si le positif est de mise, que doit faire l’individu même s’il est asymptomatique ? Se mettre volontairement en quatorzaine et cesser toute activité économique renflouant les soucis du marché dont on nous sirène tant les avantages ? Et, encore ne parle-t-on plus des erreurs de diagnostics dû à une mauvaise manip ou intégration plus forte du virus déjà intériorisé .
L’ancienne ministre de la santé n’arrête pas de rabâcher que ses concitoyens ne respectent pas le port du masque.
Mais ne faudrait-il pas plutôt rappeler que c’est la diminution des contacts, la distance physique qui devraient primer hors transports où le port est obligatoire.
Les policiers manifestent car entre autres ils considéraient que les manifestations qui se sont faites allaient à l’encontre du plan sanitaire actuel.
Est-ce qu’on tolère leur droit à manifester ou il y a interdiction.
Par ailleurs, le cordon des forces de l’ordre est tenu par qui ? Y aura-t-il des casseurs à cagoules noires ? Il est remarquable d’entendre celle qui est parricide d’intervenir à la faveur de l’asile d’un commissariat d’houspiller le chef de l’intérieur uniquement parcequ’il a omis de trouver une alternative à l’interdiction d’étrangler légalement un individu jusqu’à… En fait, par là, son discours la couvre sur tous les points.
Si effectivement comme cela a l’air, la méthode usuelle est fortement vraiment dangereuse, tout le monde constatera son intérêt à une autre possibilité pour ne pas laisser le policier pantois devant l’action.
Si c’est le contraire, l’argument se retourne facilement.