Alors, lorsque les amateurs de petits majeurs se font pincer, il leur en arrive des vertes et des pas mure en quatre murs à l’instar de ce qu’ont pu subir leurs victimes innocentes.
Jamais, à part peut-être quelques avocats ou visiteurs de prisons au-delà des familles endolories, personne ne s’en est vraiment ému.
Alors pourquoi aujourd’hui une exception ? Y aurait-il quelque chose à voir dans ce grand centre de rétention d’Outre Atlantique ou serait-ce la personnalité du prétendu présumé innocent qui serait en cause ? En effet, elle était riche à en craquer.
Du moins se croyait-elle au-dessus des lois.
Oui, à condition de n’être pas pris les doigts pleins de confiture gourmande.
Serait-ce que les riches acceptent volontiers la justice qui permet la sélection naturelle et laisse plus de place pour les autres, ceux qui ne se font pas prendre.
Mais, alors, cela doit rester entre-soi ; pas question que le petit peuple s’en mêle, même s’il s’agit parfois d’hommes de mains à tout faire.
Mais, nous sommes ailleurs, au-delà de l’Océan.
Pas de ça chez nous, restons entre gens bien, n’est-ce pas ? Un homme, sur les trottoirs d’une ville provençale, mais cela pourrait se passer n’importe où ailleurs en France y compris dans des territoires bien plus lointain, s’est fait agresser par trois jeunes qui n’avaient rien d’autres à faire.
Ils s’en sont pris à lui parce qu’il était, est, homosexuel.
Et, comme leur vie sexuelle était au niveau le plus bas de caniveau, ils ont obligé cet homme à leurs faire des fellations.
La morale de cette histoire, qui semble désormais être hélas banale, est que ces jeunes abrutis aient bien compris que le sida ne passait pas par là…
