Selon Greenpeace trois pays se disputent la place de premier pollueur du monde

Ces pays sont, par ordre alphabétique, comme on peut s’en douter la Chine, l’Inde et la Russie ; dont les habitants sont les premières victimes, mais comme la pollution ne connait pas de frontières, d’autre pays, parfois lointains, peuvent en souffrir.

Greenpeace a révélé une cartographie mondiale de la pollution atmosphérique à partir des données de la NASA, dont il ressort que l’Inde est le premier pollueur mondial, en ayant en effet dépassé récemment la Chine et la Russie dans ce triste palmarès, à elle seule, l’Inde est responsable de 15 % des émissions anthropiques mondiales, celles imputable aux activités humaines, de dioxyde de soufre.

Ce palmarès s’explique, en ce qui concerne l’Inde et la Chine, par l’importance respectives de leur population, en étant les deux pays dont la population est de loin la plus importante au monde, alors qu’un palmarès établi par tête d’habitant serait totalement différent.

Nous n’en disposons pas les éléments, mais nous pouvons nous en faire une idée à partir de la liste des installations les plus polluantes du monde, dont les centrales thermiques au charbon, qui produisent l’essentiel de l’électricité de leur pays, comme en Australie et en Pologne, l’Allemagne avec son charbon brun, exploité dans des mines à ciel ouvert, doit aussi être bien placée sur un tel palmarès de cette sorte, comme le Canada qui exploite des gisement de pétrole de schiste dans l’Alberta.

La France, grâce à son industrie électronucléaire, qui produit 75 % de son électricité, non reconnue verte par les écologistes, qui l’est pourtant, en n’émettant pas de CO2, mais il y a les déchets radioactifs dont on ne sait pas encore, quoi faire.

Revenons au rapport de Greenpeace qui situe en Russie l’installation la plus polluante du monde, il s’agit du complexe métallurgique de Norilsk, une ville située au-delà du cercle polaire, qui a fait l’objet d’un reportage photographique publié par le National Geographic.

On pourrait en citer bien d’autres dans le domaine de l’industrie charbonnière et pétrochimique, qu’il faudra bien un jour, le plutôt sera le mieux, arrêter.

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