Roulé(es) dans la farine

Il paraît qu’aucun acte sexuel ne doit être accepté à l’intérieur de l’église.

La pédophilie rampante ne serait donc que l’expression du serpent Diable qui fait tout pour dériver les belles âmes choisies par un Dieu adversaire du mal puisqu’il serait le bien.

Pelle-mêle l’on y range, les visées d’un père vers sa sœur et, étrangement, rien à l’horizon d’une sœur vis à vis d’un père, les envies d’un père vis à vis de sa voisine qui n’est pas sœur consacrée, les actes d’homosexualités qui seraient œuvre d’esprits terrestres malades et, enfin, pourquoi pas, les quelques actes de pédophilies rencontrés de-ci, de-là à cause d’une trop grande faiblesse de celles qui se veulent être considérées victimes.

Il ne peut y avoir d’excuse(s) puisque le Mal est entré dans des êtres un peu faibles, voilà tout.

Mais, bon, avant de savoir ce qui se fera à l’intérieur, il est demandé à tous d’accepter la confrontation avec la vie civile puisque faire autrement serait suspect.

En attendant, l’on va faire comme cette société connue qui voulait faire crédit à Jésus qui habitait pour elle en évêché d’Assas.

Mais peut-être qu’une certaine organisation créchant en palais de parti rouge se (re)cherchant, devrait trouver courage à reconnaître ses perversions du même genre pourtant déclarées partout dans un monde libre : camarade !!! Les gens sont fous, ils ne le sont pas devenus, c’étaient vrai avant, mais la perception en est encore plus forte démultiplié par les réseaux sociaux.

Dans un quartier tranquille de ville, une dame s’est fait violemment heurté par une voiture passant par là.

Aussitôt la nouvelle sue, les commentaires vont bon train sur  l’imprudence de l’automobiliste et la généralisation sur la vitesse excessive de ces fous à quatre, voire deux roues.

Or, renseignement pris, les circonstances ne sont pas identifiées.

Bien sur, il s’agit là d’un grave accident et personne ne voudrait être à la place de la victime.

Mais est-ce une raison pour invectiver le conducteur, d’ailleurs choqué lui-même par ce qui est arrivé, sans aucune connaissance de la réalité : la haine de l’autre commence par là aussi malheureusement…

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