Rester dans les clous

Après les présidentielles, la messe est dite : une femme est première ministre.

Parmi les voix qui s’élèvent, il y en a tout de même une qui vaut son pesant d’or.

C’est celle du vieux patriarche de celle qui est encore cheffe de l’extrême et plus vraiment fâchée avec son (re)désormais papa chéri, mais aimant toujours les chats et jeunes bobos même si les migrants sont toujours honnis.

En effet le désormais brave homme en bave de rage de savoir qu’il a fallu l’absence d’une lettre pour qu’il soit l’heureux désigné.

A vous dégoûter de continuer la lutte politique.

Enfin espérons que la nouvelle ne dépassera pas les bornes comme cet ancien que nous somme ravi de ne plus entendre éructer.

Mais, elle aura droit à toutes les compassions « pourvu qu’elle ne fasse pas un borne-out ».

va-t-elle avec les syndicats continuer à dépasser les bornes ? Même le pire : elle a eu un enfant qu’elle n’a pas osé appeler Émile… A un journaliste qui se croit sachant à défaut d’être savant, je voudrais lui confirmer que non l’extrême droite n’est pas devenue de gauche comme d’ailleurs la légende que la première ministre à ce jour serait de gauche.

Simplement ces gens ont bien compris que pour recevoir quelques votes en leur faveur il faut faire croire à la population que tout d’un coup la raison sociale les intéressent.

C’est leur manière à eux de remettre au (dé)goût du jour la politique nauséabonde.

Car ne nous y trompons pas, si si j’insiste, si ces gens-la arrivaient au pouvoir, ce serait un déchaînement de suppression de libertés, d’être et de penser par soi-même.

Même si parfois, pour faire genre populo, il serait fait appel à référendum dévoyé par le questionnement et le bourrage de crâne si cher à ce type de populationnisme totalitaire.

Vous n’y croyez pas ? Regardez à l’Est pour voir.

La-bas l’herbe n’est pas aussi verte que pensée dans vos rêves les plus fous.

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