République tu es en marche

République, que l’ensemble des forces de l’ordre doit être dans un sale état, pour que le chef de ses chefs soit obligé de reconnaître certains égarements sans passer par la case justice qui pourrait finir par celle des barreaux.

Ainsi donc, il est reconnu que certains des forces de l’ordre se croyaient investis d’une cause dépassant ce pour quoi ils avaient été engagés à leur demande expresse.

Il y avait donc un problème de formation.

Désormais, tous devront se former et passer brillamment ce stage de rappel pour continuer à exercer.

Tous dans le privé n’y ont pas le droit.

Désormais, les actions devront être moins anonyme, ce qui favoriserait certains relâchement Aussi, devront-ils mettre leur identité en avant, porter et brancher ces caméras qui permettent de comprendre comment, entre autres, une interpellation est intervenue.

C’est à l’avenant de l’audio-visuel dans les salles d’interrogatoire où depuis ne remontent plus certaines mœurs que naguère certains pensaient indispensable pour que la vérité fasse jour.

Dans le privé, cela ne se fait pas ce qui autorise votre petit chef qui se croit grand de vous faire voir ce qu’est la vraie vie à son envie.

Désormais, ils n’auront plus le droit d’attaquer au cou, d’empêcher les poumons de s’exprimer, ils devront trouver d’autres méthodes éprouvées pour arrêter plus dignement ceux qu’ils considèrent comme fauteurs de troubles à l’ordre public.

Là, c’est comme dans le privé où les responsables ont dû mieux considérer les clients qui somme toute les fait vivre.

Mais, la mesure qui devrait être la plus visible est le respect de l’interpellé(e).

Ces messieurs-dames des forces de l’ordre ne pourront plus accompagner leurs actes désormais éthiques par des propos malveillants qui ailleurs, dans le privé et le public, auraient valeur harcèlement moral ou d’injures racistes.

Même s’il n’existe aucun fichier ethnique, l’on a jamais vraiment entendu de manière pluriel ; « tu vas arrêter sale blanc !! ».

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