Réformes

A court d’idées le gouvernement actuel qui entend gouverner autrement comme son impérieux en marche ?

Il faut le croire à moins qu’il se soit dit que trop ce pourrait être la goutte qui puisse faire déborder le vase et qu’après tout, si de monde le chômage se plante ce ne sera pas trop de sa faute mais à la démocratie qui sera mise à mal de voir un accord sortie tout droit de la volonté du patronat et des syndicats de salariés.

Ainsi, par les mystères des méandres de la stratégie des hautes sphères, ce qui aurait pu être inacceptable le devient tout d’un coup.

En parlant de réforme qui ne soit pas que de communication tellement elle paraît urgente aux usagers d’établissements publics dont les procédures administratives semblent avoir été crées par des êtres divins tout droit sortis de la cuisse de leur Jupiter – un peu à l’instar de ces grands immenses architectes qui vous inventent des concepts d’habitation dont il n’ont qu’une joie que celle de n’être pas obligé d’y habiter.

L’on aimerait bien que celle qui consistait, à grand renfort de publications politico-médiatiques, à améliorer le bonne harmonie d’entente entre les usagers et administratifs mis à mal par des décennies d’incompréhensions, pour les premiers afin de pouvoir comprendre le pourquoi du comment qui fait qu’ils n’obtiennent pas satisfaction à une demande simple, les autres afin de comprendre le pourquoi du comment de notes complémentaires qui se contredisent mais qui doivent néanmoins et tout de même être appliquées à la lettre et surtout pas dans l’esprit, les agents comptables le savent bien eux qui in fine s’il y a erreur paye de leur patrimoine, enfin en théorie.

Ainsi, un individu, semblant bien sous tous rapports n’aurait plus à essayer de comprendre pourquoi l’on lui demande le 1er du mois, ce qu’il a touché au mois N-1 en sachant qu’il ne le saura qu’à N+10 jours.

Cela permet de faire attendre le versement d’une indemnité effectivement due…

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