A partir de la même base, des thèses complètement différentes prennent jour.
Et il faut attendre quelques temps pour découvrir laquelle est bonne, si ce n’est les plusieurs.
Ainsi de l’interprétation des chiffres, à la disposition de tous, du Covid si ennuyeux s’il n’y avait pas cette querelle au plus sommet de ces messieurs dames.
L’une vous dira que l’on court à la catastrophe si la petite pente actuelle du renouveau de la vaguelette perdure.
En effet, elle voit une courbe exponentielle ; et, si elle dure, l’on ne peut qu’avoir peur avec elle ? Cependant, c’est peut-être oublier que plus le groupe augmente moins le % progresse, ce qui fait peur quand même.
Et puis, pourquoi est-ce que ce damné virus ne stopperait pas sa course après un certain épuisement ? D’autres constatent simplement que globalement il n’y a pas foule dans les hôpitaux et que les nouveaux malades sont mieux pris en charge avec des traitements efficaces moins lourds.
Les villes, départements, fortement touchés aujourd’hui, sont ceux épargnés hier.
Ce qui semble être un « juste » retour des choses pour conserver une certaine égalité républicaine.
Mais, si l’on va dans d’autres sciences telle par exemple l’écologie, il y a aussi de quoi faire peur à notre vie.
Tenez, ces études faites par des chercheurs faisant ressortir la possibilité éminente d’une éruption solaire qui nous priverait de lumière.
Il appartiendrait alors à l’humanité d’apprendre rapidement à vivre autrement.
Mais, espérons qu’à l’échelle du cosmos l’imminence prenne une toute autre dimension.
En attendant, écoutons nos verts nous dire de privilégier la bicyclette puisqu’il faut bien utiliser les couloirs temporaires faits pour cela.
Et tant pis s’il y a de plus en plus de vélo électrique dont on sait bien comment sont fabriquer les batteries à l’image des autos elles désavouées.