Ravi

L’approche de Noël fait de notre impérieux, que personne ailleurs ne nous envie, le ravi de la crèche des beaux salons.

Pensez donc, au sortir d’une réunion il ne peut cacher sa béatitude d’avoir si bien parlé, négocié, fait gagner la France.

Mais de quoi donc s’agit-il mon bon monsieur ?

Du problème complexe des travailleurs détachés qui jusqu’à maintenant avait le droit de travailler dans un autre pays que le sien.

Quel plaisir d’y travailler sans en bénéficier les avantages.

Désormais, il aura les mêmes droits salariaux que les autres ce qui est une vraie victoire.

Enfin ce sera dans 4 ans le temps pour les pauvres patrons qui n’ont aucune volonté d’esclavagisme d’un capitalisme libéralisé d’un profit maximum.

Et puis, ces derniers s’en foutent car là où il y avait le plus grave souci, souci et concurrence indigne resteront puisque le transport en est banni.

Qui m’aime meurt au volant…

Et notre déficit social restera car les forts en thème de lobbying ont réussi à convaincre notre impérieux se foutant des travailleurs foutant le bordel et n’étant pas à sa botte comme sa majorité d’élus nouveaux prêt à faire n’importe quoi comme les anciens pour faire les dindons de la farce dans l’hémicycle qui en a vu d’autres et en verra encore.

La grande astuce résidant que les travailleurs détachés le restent notamment pour le paiement des charges sociales inchangées dans leur pays de base.

Si l’un est le ravi, les autres continueront de se faire rouler et tant pis pour la politique autrement.

Et pendant ce temps là note amour pour les étrangers venant en France de passage ou non , continue de s’exprimer grâce au volontariat des forces de police restées sur place dont la confirmation est faire dans un récent rapport à charge.

Lorsque l’on aime, n’est-ce pas, l’on compte pas son temps de bénévolat.

Merci qui ???

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