Si, si, pas impératrice du tout, il y en a encore beaucoup, beaucoup plus d’ailleurs malgré l’excellent travail réalisé par les associations déjà existantes.
Faire les statuts, monter le CA, faire appel à des bénévoles, ce n’est pas simple, mais cela se tient.
L’un des soucis est la ramasse, quid, quoi, mais qu’est-ce ? c’est le principe de recherche de bons commerçants, usine, artisans et j’en passe qui accepteraient de donner leurs invendus et plus s’il y a affinités.
Si en plus vous décrochez le sésame d’utilité machin chose, alors le privé s’ouvre plus facilement au public démuni puisque les entreprises ont le droit de déduire de leurs impôts leurs oboles aux pauvres.
Soit, pourquoi pas puisqu’ils y ont droit et que cela nous arrange bien.
Mais, là où le bat blesse, à chaque médaille du non travail son revers de tour de manche, c’est lorsqu’un petit futé de patron ou tout bonnement responsable à la petite semaine de profits bien à soi, comprend l’astuce de ce qui ne peut être, juré, craché, croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer ( et restes-y…).
Il suffit dans son lot de bonté de refiler des casseroles immangeables dont la date de péremption est dépassée pour diminuer ses frais sur le dos des sans rien grâce à ses pas frais.
Ce qui au demeurant n’enlève rien à ceux qui n’ont pas, juste certainement s’ils étaient au courant un peu l’espoir d’avoir plus que moins.
Amusant ces appels sincères regrettant infiniment que l’on n’ait pas répondu à un courrier où il était indiqué que l’on était l’heureux gagnant d’un super cadeau tellement énorme qu’attention les yeux il faut voir à tout prix.
Heu, y croire aussi ? Vu que l’on n’a rien reçu.
Mais devant l’insistance de la bonne fée qui donne la clé du bonheur comment résister à un tel appel même s’il n’est pas du large vu, encore, que la belle n’est pas sirène, l’on reçoit tout de même le code enchanté.
Flûte il faut rappeler un service client, appel terminé…