Adieu, veaux, vaches, cochons, il va falloir y retourner au labeur pour tenter récupérer les cœurs d’électeurs qui n’ont sans doute rien de mieux que d’essayer comprendre la situation.
Elle a pas trop mal commencé en se présentant sur son affiche de campagne avec le premier de ce gouvernement qui, peut-être, mais je suis mauvaise langue, ne la connaît ni d’Ève ni d’Adam, bonne pomme qu’elle est.
Cela aurait été peut-être plus risquer de se laisser voir avec son nouveau suppléant, mais aurais eu plus de classe.
Mais, nous y voilà le grand jour est arrivé malgré les crues annoncées et l’eau abondante dans les quartiers plus ou moins sinistrés, du moins pour ceux qui sont dans la verte plaine.
Assesseur, nommé volontairement, j’ai la chance, le plaisir de voir passer les gens bravant un temps incertain pour dire leur décision.
Mais, pour ce qui est de la matinée, peut sont arrivés en ce bureau de vote.
Et encore plus, pas grand monde pour accepter participer au dépouillement des enveloppes laissées dans l’urne qui n’attendait que cela.
Deux excuses viennent largement en tête : ce soir je suis invité, ou ce soir je pars en Province.
Comme c’est mérité, et tant pis pour les bénévoles qui feront double tâche.
Mais chacun sait que bénévole cela ne paie plus… Sur douze, deux qui voudraient bien se voir en haut de l’affiche ont mandaté un gars de leur équipe pour nous rendre visite.
Le moins pourvu a payé de sa personne pour se montrer présent.hâte de connaître les résultats en si peu d’électeurs avertis.
Au week-end précédent pour savoir définitivement ce qu’il va en être…