Mais aussi toutes les maladies que l’on avaient oublié tellement cette pandémie nous a obscurcis les nimbes du cerveau.
Si les confinements ont permis de ralentir la progression de ce virus, ils ont laissé les corps sans rappel de protection pour le reste.
Aussi, commencent gravement à se faire jour les brochantites, gastro-entérites et infections virales habituelles.
Or les services des hôpitaux n’ont pas été rechargés.
C’est toujours le même personnel qui tourne avec moins de bras devant les constantes défections consécutives à un ras le bol du métier.
Encore un effort les malades, et l’hôpital sera totalement engorgé avant que l’état de grippe de prolifère.
Aussi, si ce n’est déjà fait, il faut se faire vacciner contre la grippe.
Il faut faire le cycle total des doses vaccinales.
Il faut tout faire pour que le métier de soignant redevienne supportable.
Bien sûr, il y a la rémunération importante pour pouvoir vivre correctement.
Mais également marqueur social de reconnaissance la société vis à vis de la population.
Mais, l’on voit bien que les finances ne suffisent pas.
Il faut certes embaucher pour tenir les postes mais aussi permettre de prendre les fameuses Rtt que beaucoup n’ont vu que sur le crédit de compte de leurs droits correspondant à quelques milliards pour l’ensemble des personnels.
Mais il y a aussi de permettre à tout le monde des évolutions professionnelles sensibles équitables pour tous.
Et, bien entendu, l’inévitable besoin de tout le monde de travailler dans un bon univers professionnel.
Des locaux propres, du matériel adapté, et également supprimer les surcharges de travail ne permettant plus de prendre du temps pour les malades.
Et, bien, le grand oral des personnes qui veulent se qualifier pour représenter leur écurie à l’élection suprême.
Il y avait des personnes, un club des cinq, mais personne ne s’est détachée.
Ça fait tâche.
