Qui m’aime peut me suivre

Une question comme cent concernant l’outil de tracking des porteurs du covid95. L’application à charger sur votre portable n’est pas obligatoire.

Mais, en même temps, il vous est dit que si vous ne vous en servez pas, vous êtes un mauvais citoyen.

Y aura-t-il, comme cela a déjà été fait, un nouvel appel à délation pour les mauvaises gens qui veulent toutefois rester dans la légalité et y resteront qu’il utilise ou pas, qu’il charge ou pas l’application qui devrait rendre encore u peu plus riche son concepteur.

Mais, encore faudrait-il que les choses soient bien claires.

Certes la Cnil a vérifié que toutes les mesures de sécurité seront respectées.

Mais rien sur l’éventualité, toute de suite ou dans un futur non confiné, d’une ouverture de ce logiciel à des fins liberticides.

Car, qui empêchera des individus fiers de leur pouvoir de faire autrement, toujours plus ?? La Chloroquine, vous connaissez ? Elle est passée par ici, elle repassera par là à moins qu’elle ne revienne en boomerang sur ceux qui l’avaient imprudemment renvoyé se faire paître ailleurs.

Il paraît qu’une règle est bien suivie si elle est bien expliquée et logique.

Oui, mais, encore faudrait-il qu’il n’y ait pas quelques manœuvres pour apporter la discorde sur son incompréhension.

La barre des 6 millions de chômeurs est dépassée.

L’on ne parle pas du chômage partiel dont certains vont arriver à la case chômeur tout court.

Pas sûr qu’ils encaisseront grand-chose.

Et que va-t-il se passer pour ceux qui en étaient déjà frappés avant le virus.

Sans démarche possible, ils ne pouvaient trouver.

Désormais, les patrons sauvent leur peau en se servant de leurs salariés comme variable d’ajustement, tout envoi de CV ou demande de contact est destiné à suivre le chemin de la poubelle de l’ennui.

Mais, ces personnes vont se retrouver à court de droit.

Que leur rester-t-il pour tenter continuer vivre dignement ?

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