Le lit des torrents, des rus, des rivières et des fleuves ne suffisent plus et l’eau prend malin plaisir à retrouver ses espaces d’origine malgré la fertilité des hommes la précédent.
Depuis près de trente ans, officiellement, un assureur mutualiste sur de son talent avait prévenu des crues et ne voulaient plus assurer ces nouvelles demeures construites selon le bon vouloir des compromissions et des intérêts bien sentis à l’exception de ses futurs occupants.
La Ccr (ci-devant Caisse Centrale de Réassurance) a la lourde tâche de gérer financièrement les engagements de l’état et des assureurs en matière de catastrophes naturelles (dites CatNat pour les plus performants) et a ce titre a établi depuis bien longtemps une carte des risques et périls dont l’eau est bien souvent présente.
1910, la Seine a cru devoir élever son niveau pour se rappeler au bon usage de ses riverains, des solutions avait été imaginés, fêtées, acceptées votées mais jamais mis en place car si les statistiques, le disaient, le prouvaient, crue il y a eu, crue il y aura, l’échéance paraissait incertaine au moins très lointaine.
Et les journalistes toujours prompt à déterrer les bonnes affaires afin qu’elles ne prennent pas l’eau de faire valoir ce qui était en notre pouvoir lorsqu’il en était encore temps.
Il faudrait repenser la ville, par exemple, style créer les nouveaux habitats avec un rez de chaussée sur-élevé car voyez-vous, les anciens n’y avaient pas déjà pensé et lorsque vous croisez sur votre chemin de telles habitations c’est que vraiment vous rêvez tout éveillé.
Une autre qui vous fait demander pourquoi l’école, sur tout les grandes et hautes, sont nécessaires si c’est pour à en arriver à penser qu’il faudrait mettre les sites sensibles hors d’atteinte.
Je sens l’adrénaline monter…