Qui est chanceux ?

J’en ai de la chance, ce n’est pas moins de trois grandes enseignes de grande distribution m’affirment avoir gagné le droit d’aller chez eux..

Et le plus drôle, est que je détiens au moins une carte de fidélité de l’un d’eux.

Mais visiblement, ses services de marketing s’en foutent débilement.

Ce qui confirme la position de certains salariés travaillant dans ces services et disant qu’ils ne servent vraiment à rien.

Mais qu’ils se rassurent, un peu, les chômeurs se demandent, eux, le pourquoi de leur existence actuelle.

A-t-on le droit de jeter quelqu’un comme cela sans se préoccuper de ce qu’il sera ?

Ainsi, pour prendre un exemple du temps actuel même s’il est grossissant par rapport à mon précédent propos ; qu’avons-nous fait, accepter de la Tchétchénie, comment s’offusquer alors de ce que l’international des gouvernants a créé ?

Tenez, autre chose plus proche, en couple, après un certain temps de vie commune, si l’on veut rester sur le sentiment que l’autre est Zorro, il ne faudra pas s’étonner qu’un bon matin, l’on se réveille en constatant qu’il est zéro pointé.

Et, objectivement, l’un et l’autre font de l’extrême d’un meilleur fantasmé par soi-même de toute la force de notre subjectivité.

Par contre, si un projet commun réunit l’ensemble, tout redevient possible.

Attention, sans moralité aucune, si les enfants sont un beau projet commun, ce dernier n’est jamais fini, or parfois la vie de couple on ne sait jamais.

J’aime bien cette accroche d’un site d’outillage maison : Beaux jours ; c’est vraiment sympa comme leur pub télévisée qui vaut bien des feuilletons à la gomme dommage que ce soit aussi répété reprenant ainsi sa fonction de base : le bourrage de crâne.

Les cheminots font grèvent la durcissent, de peur de perdre leur statut mais aussi que leur entreprise soit privé et subissent la loi de l’économie financière.

Devons-nous laissez faire ?

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