Quelques faits de l’actualité du mercredi 9 mai 2018

Donald Trump et l’Iran : La décision du président des États-Unis de sortir de l’accord avec Iran au sujet du nucléaire, n’est une surprise pour personne. Le candidat Trump l’avait annoncé, le président Trump l’a fait. Sur le fond, Donald Trump a probablement raison, l’Iran n’a – probablement – pas arrêté ses recherches nucléaires militaires. Signer un accord et faire « comme si » permet de maintenir des relations avec l’Iran plutôt que de couper les ponts. Donald Trump a-t-il eu raison de quitter cet accord, l’avenir nous le dira.

Bravo aux Herbiers : Le PSG a gagné face au petit club Vendéen, Les Herbiers, mais pouvait-il en être autrement. Seulement 2 buts marqués par le PSG face à ce petit club, ce n’est pas terrible. Donc, bravo aux Herbiers d’être arrivé en finale et d’avoir laissé si peu de buts passer. Quant au PSG « A vaincre sans péril on triomphe sans gloire. » extrait du Cid de Corneille.

Bis repetita en Russie : Après l’élection, pour un 4èmemandat, de Vladimir Poutine, en Russie, sans aucune surprise. Les Députés viennent de nommer Premier ministre : Dmitri Medvedev. Sauf, à se faire nommer « président à Vie », Vladimir Poutine doit maintenant penser à « l’après », il ne peut pas faire plus de 4 mandats.

Coma irréversible ou pas ? C’est une question complexe et véritable réponse, qui se pose d’autant plus – aujourd’hui – que dans de nombreux pays, la loi autorise à « débrancher » un patient pour provoquer sans mort, sans injection d’un produit létal. Ce n’est pas de l’euthanasie. Aux États-Unis, un adolescent qui devait être débranché, le corps médical l’avait estimé « cliniquement mort » est sorti du coma juste avant d’être … débranché. Une longue ré-éducation l’attend, mais il est en vie.

Naomi et le Samu : Naomi ne va pas bien, elle appelle le 18 (le Pompiers) qui la mette relation avec le 15 (le Samu). En écoutant l’enregistrement de son appel de détresse, on comprend que ni le 18, ni le 15 ne la prenne au sérieux et le Samu l’envoie sur les roses. Pouvait-elle être sauvé si son appel avait été pris au sérieux ? Ce n’est pas la question. Noémie n’a pas su expliquer, mais elle sentait que c’était vraiment grave. Une autre personne au standard du Samu et la suite de l’histoire aurait été différente. On touche aux limites de l’humain et au manque d’empathie de celle qui a répondu à Noémie ce soir-là.

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