Comme si ces politiques, sachant, journalistes ne savaient pas le déchirement d’avec celui qu’il considère comme son ami, voire même peut-être plus.
Et, pourtant, cela n’a pas empêché dans un premier temps une suspension au parlement et dans son parti.
Voilà désormais, malgré le retour en chambre, l’exclusion du parti ayant créé Lfi.
Il n’y a plus qu’à attendre la réaction de ce dernier pour que l’exclu reste inscrit sur le banc des non-inscrits (ou c’est comme cela) puis qu’élu il ne peut être défait autrement.
En attendant, il continuera sur les bancs, mais sans doute à l’écart des louves à grandes dents.
Moins 9,2 %, c’est le chiffre actuel qui consacre la baisse du chômage qui continue malgré l’économie en berne et quelques doutes sur la prise en compte de l’ensemble des individus ne travaillant pas.
Une des explications serait que les patrons conservent leurs salariés de peur de ne pas les (re)trouver lorsque leur activité l’exigerait.
Si c’est vrai, merci la Covid puisque c’est « grâce » à elle que les salariés se sont questionnés sur leur sort de travailleurs.
Mais, a contrario, cela voudrait-il qu’avant, et peut-être demain, que les patrons licenciaient sans réelle raison mais plutôt pour conserver des bénéfices indus sans ruissellement visible ? Peut-être demain car, les prévisionnistes pensent ferment que le taux de chômage actuel de 7,5 % passerait à 8,22 % en 2024.
Peut-être qu’à cette époque future, le trop plein de stagiaires, apprentis en tout genre a atteint son pic.
Cependant, les employeurs se réveillent en embauchant des seniors.
Ils en embauchent tellement que le seul exemple trouvé par les journalistes est celui d’un employé de sécurité service.
Debout toute la journée pour une personne de plus de 58 ans, ce n’est pas pénible.