Quel bordel

C’est pas moi qui le dit, c’est l’impérieux qui l’a osé.

Comme le dit un de ses députés le défendant, enfin voilà un président qui dit ce qu’il pense…

Ben, mon gars, cela fait parti du problème.

Je ne suis pas sur que les électeurs l’ont choisi pour se faire insulter bien qu ‘en terme de sadomasochisme ils y a qui en connaissent un brin.

Pas certain que ce gars le dirait à la dame d’Outre Rhin par exemple.

Mais ce n’est pas le propos.

A ce que je sache il est payé pour être, rien à voir au brave gars qui dans sa voiture tiendrait le même propos.

Parait qu’il dit ce qu’il pense, une autre forme moderne de faire différemment de la politique.

Mais vos mots, Monsieur, sont nos maux.

Alors taisez-vous et faites votre boulot.

Jusqu’à présent vous n’avez que taper au portefeuille de petites gens, les insulter et favoriser les grands.

Puisque vous voulez parler vrai osez dire que votre seule volonté est de faire la politique pour les riches dont vous aimeriez faire partie et c’est bien parti.

Ceci dit, c’est bien parce que les braves routiers sympas ont foutu le bordel que vous avez tout d’un considéré que vos ordonnances si bien ordonnées devaient pour eux passer à la trappe sur les points qui les dérangeaient.

En clair, vous aimez bien le bordel, le foutre, et rien à voir avec ces maisons closes fermées depuis jadis, et certainement regrettez que les salariés ne le fassent pas plus tant vous aimeriez pouvoir sortir de votre langage si châtié de banquier.

Mais, cela ne vous empêchera de toujours continuer encore à taxer les possibilités des fainéants, analphabètes puisque vous visez les plans à court et moyens terme d’épargne pour un futur incertain.

Bien entendu, si je vous dis que vous n’avez pas été élu pour opérer ce racket généralisé, mais bien pour faire barrage à un risque dont quelques uns pourraient commencer à croire qu’il n’était pas peut-être plus grand que celui vécu actuellement pour les petites gens.

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