Certains voient dans le solstice d’été un jour de fête, c’est le jour le plus long de l’année, mais pas dans le solstice d’hiver qui est le jour le plus court de l’année.
Effectivement, il est agréable de pouvoir flâner dehors alors qu’il fait encore jour tard dans la soirée. Alors, qu’en ce moment dès 17h00 on l’impressionne qu’il est tard, il fait nuit, l’après-midi n’est même pas terminée.
Et pourtant, je préfère le solstice d’hiver, car il annonce le début du rallongement des jours.
Alors que le solstice d’été marque, au contraire un raccourcissement des jours. Jusqu’à mi-juillet ce n’est pas trop visible. Mais, tous ceux qui partent en vacances au mois d’août le savent bien, les soirées sous la lumière du jour deviennent impossibles et il faut rapidement utiliser la lumière artificielle.
Pour moi, le solstice d’été marque le début des journées qui raccourcissent et des nuits qui s’allongent. C’est le retour progressif vers les ténèbres.
Alors que le solstice d’hiver marque le retour vers la lumière, ce n’est pas vraiment visible les premières semaines, mais dès la mi-janvier, l’allongement des journées est réel et les nuits – déjà – plus courtes. Nous gagnons chaque jour quelques minutes sur la nuit.
Quoi qu’il en soit, solstice d’été ou d’hiver, c’est le moment où tout bascule, une sorte de mouvement perpétuel où le jour et la nuit se partagent les 24 heures.
