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Que faut-il dire

Il avait traité sa collègue députée « poissonnière ».

Devant la bronca soulevée dans l’hémicycle face à cette délicatesse qui n’a évidemment rien de sexiste, l’homme d’ordre s’explique.

Il n’y aurait eu aucune insulte de sa part, pensez le contraire est une infamie puisque sa mère serait charcutière et que ce serait même u compliment.

Il a bien raison cet homme très raisonnable.

Au contraire c’est un honneur en forme de reconnaissance que d’appeler charcutière une charcutière.

C’est sans aucun doute reconnaître la qualité de cette artisane.

Mais, traiter une député de poissonnière, est bien, au minimum, peu aimable.

Il aurait du l’appeler Députée… Lorsque l’on entend discourir les gens de l’extrême droite qui suivent la parricide au chat, l’on en croit pas ses yeux du discours de gauche pointue dont ils sont capables.

Or, à entendre leur jeune vice président, on respire que d’un souffle il reprend pour sa flamme la faknews selon laquelle le gouvernement actuel aurait refusé d’investisseur dans la start Up nantaise qui a vendu son vaccin de la covid au hors la loi d’Outre manche.

Or, c’est faux, le gouvernement avait accepté d’intervenir à hauteur de 80 % des besoins, mais ses dirigeants, petits malins capitalistes plus que français, ont trouvé plus lucratif d’exporter leurs connaissances.

Les consultants et journalistes commencent à retrouver une certaine réalité à la suite de ce qu’il convient d’appeler un scandale avec une entreprise qui non contente de ne pas avoir rendu un vaccin dans les impartis dont les autres états ont sus s’en servir, a licencié du personnel dans la recherche au prétexte qu’elle voulait investir dans un autre domaine médicamenteux.

C’est oublié que prit en amont, n’importe quel chercheur est capable de s’adapter après formation.

Mais, en plus, elle se permet de répartir son bénéfice exceptionnel à ses actionnaires.

Il est vrai qu’elle a été fortement encouragée par un autre financier banquier qu’est l’illuminé qui a bien su choisir son trottoir.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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