Quand l’artisan va…

Il m’avait été dit, c’est du moins ce que j’avais entendu, que les patrons, surtout les petits, avaient fortement souffert du Covid19 faute d’un chiffre d’affaire(s) en déliquescence.

Il avait été même question de leur permettre d’obliger leurs salariés à renoncer à leurs si chères vacances d’été non pour faire des économies mais pour continuer d’aller travailler tant ils avaient été chagrinés de ne pouvoir y aller.

Or, faites l’essai d’un appel au secours à, par exemple, un artisan plombier.

Il vous répondra qu’il ne peut que partir en vacances d’été bien méritées… Nos technocrates en cours de mode actuelle s’engage à réfléchir sur l’adoption d’un score Co2 apposé à côté du fameux multiscore dont on ne sait pas trop ce qu’il veut dire si ce n’est que le rouge nous foudroie.

Ok, il nous faut faire attention au réchauffement de la planète, urgence sanitaire de notre vie à rester sur Terre.

Mais, alors, pourquoi ont-ils cédé à la pression de la fermeture d’une centrale nucléaire qui dépense deux fois moins en la matière que les plaques solaires censées rendre indépendants nos habitats ? Et maintenant, la demande électrique étant toujours aussi importante, il va falloir chercher  son énergie chez les voisins utilisant leurs mines à charbon très écolos comme chacun sait.

A la force d’exiger n’importe quoi les verts vont finir pas se faire griller sous le proverbe détourné : « un vert sympa, deux verts méfie-toi, trois verts bonjour les dégâts…

» Et voilà comment de bons sentiments, dans toute la beauté du terme, va finir écraser comme une certaine idée sociale qui voulait mettre l’humain au devant, à l’intérieur de la scène de vie de chacun.

Mais ils continueront à imposer la non voiture sans prendre la peine de mettre en place des transports alternatifs digne de ce nom et sans prendre la masse pour du bétail sachant toutefois que nombre d’entre-eux préfèrent les animaux de non compagnie…

Quitter la version mobile