Puisqu’on vous le dit

Avec son ton péremptoire, cette ancienne maîtresse d’école, reconvertie dans la communication du je sais tout du moins j’en parle, cette communicante sévit sur l’ensemble des plateaux télé et journaux.

Elle fait savoir qu’elle sait ou du moins surtout, qu’elle a un avis sur tout.

Sure d’elle, elle s’envole parfois sur des chemins parsemés de son ignorance que ses interlocuteurs arrivent parfois à lui faire entendre.

Mais comme elle est éloignée de l’idiotie, elle sait se calmer quand la vérité est prouvée qu’elle ne vient pas d’elle (coupée).

Mais il ne faut pas s’inquiéter pour elle, le défaut qu’elle pense qualité reprend vite le dessus.

La langue se délit pour faire savoir qu’elle sait.

Lorsque l’on apprend qu’en cas d’arrivée hors deuxième à la prochaine élection suprême, le parti qui se voudrait raisonnablement de droite disparaîtrait.

Il se dilaterait littéralement sur sa droite par son extrême représenté grosso modo par des politiques du sud français et sur sa gauche par la tendance du boxeur au calme dans son havre de paix.

Si cela est vrai, la gauche devrait alors avoir un véritable boulevard pour les prochaines d’après celle-ci.

Bravo, c’est dit par un autre consultant journaliste s’il en ait.

Le plus drôle trublion d’extrême fait son beurre sur les musulmans.

C’est gras à souhait.

Un homme politique de gauche, parti en entreprise privée pour voir du réel et revenu pour faire croire, se dit être comme un ancien entraîneur de foot qui a fait des bleus des vrais bleus gagnants.

Aïe attention à la castagne de la Remontada.

On peut ne pas être d’accord, mais il est réconfortant d’entendre que la réforme des retraites, à part de complaire à des personnes qui ne sont pas concernées dans leur quotidien douillet, n’est pas justifier.

C’est marqué en toutes lettres dans le rapport remis qui dit que si crise il y avait, ce serait en 2035.

Et, à ce moment là, le boom des baby boomers sera passés.

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