Vraiment noir ces peuples qui se font la guerre au prétexte que la terre foulée leur appartient.
Exclues donc les soi-disant étrangers du sol qu’ils ont foulés sur plusieurs générations.
Parqués dans des champs à défaut de stade couverts même si l’on est âgé alors que les us voudraient qu’il soit vénérés mais la coutume n’y est plus.
Non nous ne sommes pas en France, mais les même thèmes fascistes circulent de la loi du plus fort de l’instinct de propriété plus facile que le partage d’un mieux vivre ensemble.
Quelque soit le pays, lorsque l’on lâche les bêtes sauvages, il n’y a que le combat pour sa survie qui compte.
C’est aujourd’hui, après l’hommage au professeur qui espérait ne pas mourir pour rien, propos lâchés de son vivant au moment où il ne savait rien de son futur, que sort l’aventure d’une professeur agressée verbalement par une élève d’une autre classe n’ayant pas apprécié le débat, encore, sur la laïcité et notamment le port du voile.
Or, c’était une vingtaine de jours avant l’agression lâche du désormais modèle pour tous.
C’est une preuve supplémentaire que tous savaient, mais considérait comme piétaille le combat incessant des personnels éduquant à la base l’importance du libre pensée.
Journaux, papier, internet et télévisés mettez en Une les caricatures de Charly et exposez dorénavant chaque entorse recensé de l’atteinte à notre République fière de penser librement.
Si les mets et produits de chacune des populations présentes sur notre sol ont droit de cité dans les commerces qu’ils soient de grande ou petite distribution, la religion quel qu’elle soit n’a pas lieu d’être dans les écoles publiques.
Et il devrait en être de même dans le privé, dont on se demande bien à quel dessin elles sont vouées, si elles sont financées par l’état républicain.