Vous savez ceux qui profitent des tueries pour faire leur beurre, la crème et tenter partir avec la crémière.
Et il y en a un paquet.
Alors pourquoi ne pas les faire cracher au bassinet pour un retour de ruissellement réel ? On voit bien taxer ces grandes entreprises dont les bénéfices enflent au fur et à mesure que monte l’inflation des énergies ; mais pas que.
Les riches, les vrais, ceux qui ont plus de 100 millions d’Euros à ne pas savoir qu’en faire – et que dire des milliardaires – profitent aussi du désordre économique régnant.
Alors, pourquoi ne pas les taxer genre 10 % de plus que ce qu’ils payent légitimement.
Mais, voilà, que payent-ils vraiment en impôts à leur si cher pays France ? Mais, il ne faut pas fermer la porte sur ces bonnes intentions.
Les chaînes télévisées, surtout d’informations comme ils disent, ne font-elles pas elles aussi plus de beurre que d’habitude ?
Du moins est-il plus simple de remplir les grilles d’audience tellement le feuilleton guerrier est dense – avec les loups.
Mais, le seul terme de super profit fait fuir les libéraux économiques.
Ils ont peur que l’on découvre que, d’une manière générale, lorsque l’un gagne, beaucoup d’autres perdent.
En conséquence, les profiteurs de guerre ne sont que le reflet d’un miroir grossissant faisant prendre les vessies pour des lanternes.
Des profiteurs, il y en a d’autres ailleurs.
Ceux du feu, ceux qui causent des incendies au prétexte qu’ils ne veulent pas le faire exprès.
Ceux qui voient d’abord leurs intérêts immédiats au mépris des gestes qui pourraient sauver des pans entiers de nos terres et à terme leur survie agricole.
Dans le Var, la belle plaine des Maures est envahi par la noirceur des restes de feu.
Quant les différentes parties vont-elles se réunir non pas pour porter la responsabilité à l’autre pour tenter de raisonner le diable ?