Prévoyez

Désormais, le sexisme à sens unique oblige ce qui n’aurait pas été envisageable autrefois.

Le ministre de l’intérieur, petit homme qui veut paraître grand, a agit comme à son habitude avec son langage rude.

La journaliste chargée de sa prise en charge le savait.

Elle n’a cessé que le provoquer.

S’il avait été un duel entre hommes, tout le monde aurait déjà oublié ce combat de petits coqs.

Mais comme la confrontation opposait un féminin contre un masculin, toutes les bonnes langues, fières d’être du côté mode, fait haro sur le baudet mâle (pléonasme).

Que ce serait-il passé si l’un ou les deux n’avait pas décliné son genre ? Maintenant, l’homme devait s’excuser auprès de femme outragée.

Mais est-ce que l’inverse sera un jour possible ? Lorsque vous écoutez les débats à ce jour, leur organisation bien pensée fait que la parité soit respectée.

Toutefois, bien souvent, il y a plus de femmes que d’hommes.

Mais comme l’inverse peut encore se trouver si l’on cherche bien, l’on pardonnera cette (r)évolution.

Mais, lorsque l’on constate que systématiquement ces dames coupe la parole à l’homme parlant, l’on peut s’interroger d’autant plus que le contraire ne plaît pas.

Les français, quand ils y pensent, ont peur pour leur retraite.

A combien par mois auront-ils droit à sortir dignement du travail forcé ? Mais le gouvernement est là pour les tranquilliser puisqu’il décide(ra) de (re)pousser le top départ le plus loin possible.

D’ailleurs, cela les aidera à se faire le complément de revenu indispensable tant sera la diète à venir.

D’autres gens bien attentionnés leur proposent de réserver mensuellement ne serait-ce que 50€/mois.

Mais, si vous multipliez à l’infini ces 600/an, par exemple 45 annuités, vous aurez totalisé 27 000€ auxquels s’ajouteront vos intérêts et se déduira l’inflation.

Il ne vous reste plus qu’à espérer que vote patron vous laisse une bonne paie pour ne pas être le dindon de la farce.

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