Un maire au fromage, bien connu en Île de France et d’ailleurs, dit qu’il n’est au courant de rien des déboires de son ex-patron.
Il est vrai qu’il n’a jamais vraiment cru aux subventions de l’électrique.
Il est comme ponce Pilate, il s’en lave donc les mains.
Pourtant n’est-ce pas un pince sans rire qui disait « Préférez le vin d’ici à l’au-delà » savait très bien qu’il ne fallait pas le prendre au premier degré.
Et celui qui a dit « fontaine je ne boirai pas de ton eau » était au fait du savoir que parfois ce n’est pas tenable.
Qui n’a jamais surpris un gamin les doigts dans la confiture en souriant doucement de ce manque de pot ? Mais voilà, lorsque l’on grandi, l’on comprend tout de suite que si « l’argent ne fait pas le bonheur » il y contribue largement surtout peut-être pour prendre le pouvoir.
Qui sait, les petits enfants en grandissant croient peut-être que grands ils seront tout simplement sermonnés le temps de passer à autre chose.
Il faut acheter français pour soutenir l’économie française.
Soir, si en plus cela permet des emplois pérennes, c’est tout bon.
Sauf, qu’il y a nombre de patrons dont les entreprises embauchent des ouvriers étrangers en Cdd dont les salaires et conditions de travail sont loin de correspondre au minima sociaux de notre beau pays.
De plus, les patrons ne cotisent pas à notre Sécurité Sociale ; bonjour le manque à gagner pour notre pays.
Il faudrait acheter au plus proche de chez soit dans un système appelé « circuit Court » pour éviter notre dispersion en Co2.
Certes, il faut y adhérer.
Mais encore faudrait-il que les exploitants agricoles ne considèrent pas qu’ils rendent service aux clients.
La qualité des produits doit être au minimum du meilleur de ce qui nous est proposée actuellement et éviter de faire envoler les prix sous prétexte que les bobos sont gentils…